Un rêve est un souhait que votre coeur fait, quand vous dormez profondément

Stella Skywalker

- Laissez-vous tenter -

Identité

MADE BY .ANGELUS

Once upon a time

- A Dream is a wish your heart make -

Le Ciel étoilée

La vie d'une étoile est tout à fait curieuse, si vous voulez mon avis. Et pourtant, il n'y a rien d’intéressant en cela. Éparpillées sur la voûte céleste, chacun pourrait les croire éternelle et immortelle, et c'est ce qu'elles croient elle-même. Les étoiles sont en fait très orgueilleuse, et têtue, et il est vrai que leur vie est incroyablement longue. Tellement qu'elles-mêmes ont oubliés beaucoup de choses, à commencer par leur naissance. C'est un événement si flou et si lointain, complexe et long, qu'elles l'ont oublié et font comme si elles étaient là depuis toujours, surtout qu'il reste un événement rare. Quant à leur mort, c'est le même processus mais inversé. Surtout qu'à la mort d'une étoile se succède toujours une naissance : ainsi les autres étoiles ne voient qu'une seule des leurs quand il y en a deux, la morte et la nouvelle née. Ainsi, les étoiles se croient supérieure à tous et les plus vieilles personnes de l'univers, c'est après tout possible, et gare à ceux qui diront le contraire !

Il existait donc une étoile bien sûr, un astre particulier puisqu'il faut bien cela pour raconter une histoire. Elle était encore jeune, à sa propre mesure car sa jeunesse était déjà très longue pour les mondes et leurs être vivants, et se souvenait de sa propre naissance. Ainsi, elle savait que les autres refusaient d'entendre raison, et lui disaient toujours de se taire. Elle ne s'entendait pas très bien avec ses voisines, et c'était très embêtant, car les voisines de la petite étoile avait allaient rester les mêmes pour toujours : il faut bien rappelle qu'elles ne se déplacent pas à leur guise, mais en suivant le lent mouvement de l’univers. Mais que font-elles alors, accrochées dans le ciel, sans pouvoir se déplacer ? Comme cela devait être ennuyeux, n'est-ce pas ! Et seule la petite étoile s'ennuyait en vérité. Les autres s'amusaient, et passaient même tout leur temps, à regarder les mondes grandir, évoluer, déchoir et recommencer. Il n'y avait que ça à faire, et elles s'en contentaient grandement, commentant dans un bruit de chuchotis critique ce qu'il se passait en-bas. C'était cette longue observation, très frustrante pour notre étoile, qui avait rendu toutes ces lumières très apathique, calme et morne. Elles se perdaient dans cet état contemplatif, et c'est pourquoi leur vie se rapprochent plus d'une forme végétale ou minérale qu'animal. Mais notre étoile à nous avait la bougeotte ! Regarder les mondes, c'était bien gentils, mais elle voulait faire tellement plus, bouger, partir en exploration et voyager ! Tout cela était impossible, et elle devait se contenter d'une vie incroyablement longue et contenir sa frustration grandissante. Elle n'en était pas capable pourtant, et bouleversait régulièrement la tranquille observation des autres.

Un jour pourtant, une voix s'éleva dans le ciel. Elle était claire, et grave, se répandant dans le ciel et toutes s’entendirent. « Petite étoile, petite étoile qui bouleverse le calme et l'ordre établit, où es-tu ? Moi je veux bien parler avec toi, je m'ennuie moi aussi ! ». Aussitôt, l'agitation régna dans le ciel, et toutes les étoiles chuchotaient avec le plus de fureur qu'elles pouvaient avoir. Qui es-tu semblaient-elles dire, et les voix étaient tantôt individuelle, tantôt un chœur unis. Pourquoi parle-tu si fort, retourne d'où tu viens, et ces phrases résonnaient dans le ciel. Une autre voix s'éleva pourtant au-dessus de toutes les autres, claire et cristalline, et c'était bien sûr notre petite étoile. « Je suis ici, ne me vois-tu pas ? Tu ne peux pas, puisque mes sœurs et moi sommes toutes pareilles. Je brille avec elle, mais qui es-tu toi ? Je ne te vois pas, et tu n'es pas ma sœur ! ». Cette nouvelle voix provoqua à nouveau une vague de protestation dans le ciel. Comme osait-elle parler aussi fort, au-dessus des doux murmures vindicatifs de ses sœurs ! Comme cette petite étoile était embêtante. Détournées de la contemplation des mondes, le ciel était pour une fois centré sur lui-même et ce qu'il s'y passait, le théâtre de la scène pour la première fois.

La voix s'éleva à nouveau, sous les murmures ambiant. « Tu ne me vois pas ? C'est parce que tu ne sais pas où regarder, tu n'as jamais fait attention à moi ! Je vais et viens dans le ciel, au rythme des mondes, croissant sous vos yeux. Je brille très fort pour tous, et pourtant sans votre lumière je ne serais rien. Me vois-tu, étoile ? ». Et la petite étoile se concentra, regardant l'ensemble du ciel comme seule les habitants du ciel le peuvent, avec cette vision presque à 360 degrés. Et elle trouva enfin. Le propriétaire de la voix était si grand, comment avait-elle pu ne pas faire attention à lui ! Mais autour d'elle, les étoiles murmuraient toujours furieusement, autant que pouvait le faire ces créatures apathiques. Comment osaient-ils parler encore, disaient-elles, elles lui avaient déjà dit de partir et de les laisser tranquille ! Alors la petite étoile se trouve un courage de parler encore au-dessus de toutes. « Je te vois ! Je te vois dans le ciel, comme tu es visible maintenant ! Je brille plus que toi, mais tu arrive à éclairer la terre, et mes sœurs et moi n'y arrivons pas. Pardonne les s'il te plaît, elles sont si têtues ! ». La voix rit alors, avec un son franc et qui se rependait dans le ciel. « Comme tu es gentille de les défendre ainsi, et bien bonne avec moi ! Tu te sens pareille à elle, et bien je vais te distinguer moi, car tu es ma très chère amie à présent. Je t’appellerais ma Bonne Étoile, et tu pourras m’appeler Moony ». Et la petite étoile en réponse se mit à briller plus fort que les autres, autant d'un plaisir rougissant que parce que l'importance qu'on lui accordait la démarquait des autres. Ainsi une bonne amitié fut forgé entre la petite étoile et son très chère ami Moony.

Les deux amis parlaient beaucoup, dès que la lune apparaissait dans le ciel, et le bruit de leur conversation finit par s'intégrer à l'environnement du ciel. Les étoiles, lassées de critiquer, finirent par se fatiguer de réclamer le silence et elles s'habituèrent à ces conversations, faisant de leur mieux pour même les oublier et se concentrer sur leur activité favorite, la seule. Alors les deux voix claires du ciel pouvaient se parler sans arrêt, dès qu'ils le pouvaient, de tout et de rien. Mais bien sûr, le sujet qui revenait le plus souvent était les mondes d'en-bas. Ils en raffolaient tout les deux, partageant leur pointe de vue qui était si différent, elle si loin et lui si près. Elle ne lui en voulait pas, n'était pas jalouse, mais réclamait sans cesse qu'il lui raconte ce qu'il pouvait voir, car il tournait autour du monde et en était donc bien plus proche qu'elle. Mais ces conversations duraient, duraient dans le temps et il vint un jour où la Bonne Étoile commença à nouveau à se sentir frustrée et malheureuse. Comme elle aurait voulu bouger, voyager, découvrir tout cela par elle-même ! Mais il fallait se rendre à l'évidence, elle était tout simplement trop grande, sa taille englobait tout ces mondes et elle ne pourrait jamais les visiter.

La Terre verdoyante

Et pourtant. Pourtant un jour, quelque chose arriva. Il faut bien cela, dans une histoire n'est-ce pas ? Il eut un jour, l'un de ces jours où Moony n'était pas dans ce coin du ciel, où elle entendit une voix. Ce n'était pas la voix de son ami, ni même les multiples voix sourdes et basses des étoiles. Non, c'était bien plus que cela. C'était un cri, une voix désespéré dans un appel déchirant qui demandait un peu d'attention. Et cette attention, la Bonne étoile qui s'ennuyait là-haut fut la seule à lui donner. C'était un homme, un être humain sur Terre qui suppliait, mais pourquoi ? Elle se concentra, tendant ses sens pour mieux écouter ce qu'il disait. Un enfant, c'est ce qu'il demandait. Il le demandait aux dieux, mais personne ne l'entendait. Il demandait au Ciel, regardant la grande étendue morne, et demandait aux fées de l'aider. Mais rien ne se produisait. Il priait, et son regard passa sur l'étoile qui brillait plus que les autres durant sa prière. Et aussitôt elle fut... Libre. Liberté, quel mot étrange dont elle n'avait jamais compris la définition. Liberté, ce concept si étrange aux autres étoiles ses sœurs. Liberté, la sensation qu'elle goûtait enfin du bout des lèvres. C'était comme si, quelqu'un quelque part, avait appuyé sur un interrupteur. Elle se sentait tout à coup capable de tout faire, capable de soulever des montagnes et de faire naître la vie. Son vœux le plus chère, le seul qu'elle avait, était exaucé.

Libre, elle apparut devant le berger qui avait un jour eut la folie de supplier l'étoile qui brillait plus que les autres dans le ciel. Libre, elle lui sourit. Libre, elle s'aperçut qu'elle n'était plus elle-même. Si différente, si contrainte dans un corps. Elle, la Bonne Étoile, dans un corps humain ? Toute étoile aurait trouvé ce sort bien triste, bien peu enviable car elle était obligé à une seule apparence, toute petite, et ne pouvait plus contemplé tout l'univers de ses grands sens. Mais quelle joie, quelle bonheur pour elle ! Au comble de l'émotion, elle tourna un instant sur elle-même, contemplant ce qu'elle était aujourd'hui. Une grande femme, à la peau aussi blanche que l'aura qu'elle portait dans le ciel, des cheveux blonds et doux retombant autour de son visage, des vêtements aussi bleu que l'éclat de sa lumière perçu par les hommes. Dans son dos, deux grandes ailes aussi fine que les membranes d'une libellules s'agitaient calmement. Comme elle était heureuse ! Et cette pensée traversa sa gorge, et elle entendue sa voix claire, si différente et semblable à la sienne la-haut, et elle laisse échapper un rire cristallin.

Devant elle, l'humble berger resta tétaniser, à la fois de peur de fascination face à cette femme surgit de nul part, étrange et splendide. Mais il n'osa pas s'enfuir, pas elle qui était apparu alors qu'il priait. Il voulait y croire ! Et la Bonne Étoile se tourna vers lui, lui tendant une main. Intimidé, il la saisit, entrant dans la lumière qu'elle répandait autour d'elle, et une sensation de chaleur et de douceur l'envahit. « Tu veux un enfant, n'est-ce pas berger ? Conduis moi à ta femme ». Et l'homme suivit le conseil, entraînant par la main cette grande femme surgit de nul part. L'épouse attendait dans son foyer, et pris peur en voyant son mari revenir avec cette splendide créature, se voyant déjà chassé de la maison à cause de son incapacité à enfanter. Et la Bonne Étoile pris soin de la rassurer, car elle ne souhaitait point de mari. Elle s'approcha, et tendrement effleura du doigt le ventre vide de cette femme. Elle sut aussitôt que la vie allait bientôt s'épanouir là et se détourna, avec le sens du devoir accomplit. Dans un éclat de lumière, elle disparu. Son cadeau lui, subsista, donnant bientôt au couple heureux un magnifique bambin. Juste après la naissance, la femme vint se tenir au bord de la falaise, là même ou son mari avait vu apparaître la créature lumineuse, et se mit à prier pour une vie belle, riche et abondante. Mais jamais elle ne revint. Le mari, lui, répandit rapidement la rumeur de cette femme aussi lumineuse d'une étoile qui était venu donner naissance à son enfant, et chacun ne pu que reconnaître qu'il n'avait pas réussi à avoir d'enfant auparavant. Chacun se mit à croire, ou non, mais contribua à la renommé de la créature, racontant à qui voulait l'entendre l'histoire de l'homme et de son enfant. Peut-être était-ce pour cela qu'on se mit à l'appeler l’Étoile du Berger.

De retour à sa place dans le ciel, la Bonne Étoile n'aurait pas pu être plus heureuse de son aventure sur le monde, de son voyage auprès d'un couple désormais heureux. Elle ne se sentait plus piégée sur la toile du ciel, et sentait tout au fond de son être qu'elle pourrait se déplacer à nouveau si elle le voulait. Mais elle ne pouvait pas, car elle attendait son bon ami dans le ciel pour tout lui raconter. « Ma chère amie, ma Bonne Étoile, tu me dis que le vœux de cet homme t'a permis de te libérer du ciel ? Comme je suis heureux ! Comme je rayonne, regarde ! C'est ta lumière que je reflète, et regarde comme je brille, c'est parce que toi-même tu resplendis encore plus qu'avant ! ». Et en effet, la petite étoile éclairait le ciel comme jamais. Mais cela ne s'arrêta pas là. Moony, heureux pour son ami, réfléchit aussitôt à ce qu'elle avait fait. Ne pouvait-il pas lui aussi reproduire cet exploit ? Cela lui prit quelques temps, mais cela marcha. L'expérience ne fut pas la même que celle de sa bonne amie, mais il réussit lui aussi à user de magie pour s'incarner. Sauf qu'au lieu d'exaucer les souhait, il sauva une vie de la mort. Un être humain qui sombrait dans les ténèbres regarda la lune au moment de son dernier soupir, et Moony lui accorda la vie en échange d'un rôle dans l'univers. Heureux de pouvoir aider le monde, et notamment les enfants car il voyait le mal qui leur était fait lui qui était si près, il raconta aussitôt l'exploit fait à sa bonne amie. Et comme il était heureux ! Mais … Ne pouvaient-ils faire plus que cela ? Se raconter à tour de rôle les vies qu'ils avaient, les souhait qu'ils exauçaient ? L'idée était folle, mais pourquoi pas après tout ? Ils choisirent la lune, car l'étoile n'était pas solide et il devait être dangereux d'y venir. Ils se concentrèrent, souhaitèrent si fort et si purement, que le miracle s'accomplit. La Bonne Étoile ouvrit les yeux, et elle était sur la lune. Et en face d'elle, son bon ami avait réussit à s'incarner. Ils tombèrent dans les bras l'un de l'autre, riant de leur amitié renouvelée. Ainsi la vie de la Bonne Étoile commença lentement à s'écouler, entre des visites à son bon ami et des visites sur les mondes, pour exaucer les vœux. Rien ne pouvait entacher son bonheur, si ce n'est la tristesse de son ami qui ne pouvait rencontrer ses créations. Comme elle était désolée pour lui !

L'une de ses plus belles créations fut un petit garçon. Oh, il ne l'était pas encore, mais elle savait que ce n'était qu'une question de temps. C'était le vœux d'un vieil homme qui l'avait attiré sur terre cette fois ci, et il était si pure qu'elle n'avait pas pu résister. D'un coup de baguette magique, elle donna la vie à son pantin de bois, promettant qu'il deviendrait un vrai petit garçon s'il était sage. Pour accompagner cette nouvelle vie, vierge de toute expérience, elle n'oublia pas de le doter d'une conscience, un petit criquet qui était là. L'histoire commence mal pourtant, car le pauvre petit pantin se retrouve capturer par un homme cruel, mais ne l'avait-elle pas avertit de bien écouter son père ? Généreuse et bonne, elle lui accorde une seconde chance comme elle fait souvent, lui donnant un nouvel avertissement et le punissant de ses mensonges. L'enfant faute à nouveau, et la Bonne Étoile qu'ils appellent parfois fée bleue, surveille de son ciel l'évolution de tout cela, pour n'intervenir qu'au dernier moment. Mais le pantin réussit à s'en sortir, retrouve même son père et devient un petit garçon. Et c'est avec joie et fierté que Pinocchio devient un vrai petit garçon.

Pourtant, ne retient-il donc jamais sa leçon ? Même enfant, il est malicieux et assez bon pour se retrouver dans toute sorte s'ennuie ! Prise d'affection pour ce garçon à qui elle a donné la vie, elle déplace sa petite maison des bois près de chez lui. Cette petite maison, elle l'avait créé il y a longtemps, car elle avait souhaité séjourné un peu plus longtemps sur terre. Quel bonheur après tout que de vivre, et elle avait voulu être plus proche de ceux à qui elle accordait leur vœux. Ainsi, la bonne étoile resta près de Pinocchio, intervenant lorsqu'il avait besoin d'aide pour le sermonner.

Le Sort noir

Ce fut un jour comme un autre que tout bascula à nouveau. La Bonne Étoile, une fois n'est pas coutume, s'était retrouvée avec son bon ami dans sa petite maison de la forêt. Ils discutaient d'un sujet qui leur tenait à cœur : pourquoi ne pouvait-il pas s'incarner sur le monde qu'il gardait, celui-là même où il avait sauver des âmes perdues pour qu'elles protègent les enfants ? Ce sujet revenait souvent entre eux sans qu'ils ne puissent y faire quoique ce soit. Et un mauvais pressentiment les pris tout à coup. Des cris raisonnaient dans les mondes, appelant à l'aide, et ils sortirent aussitôt pour voir ce qu'il se passait. Ils n'avait pas passé le perron de la petite maison des bois qu'une vague de fumée se précipitait pour eux. « Moony ! » s'écria-t-elle, tendant les bras vers son bon ami. La peur, pour la première fois, habitait son cœur face à cet événement qu'elle ne comprenait pas. Ils furent avaler en un rien de temps par le sort noir, soufflant la lumière de l'étoile dans le ciel des mondes enchantés.

La Ville maudite

Stella n'est pas la personne la plus responsable de Bourg-le-Conte. C'est bien dommage, car elle est le commissaire de la ville. Il faut dire aussi qu'il ne se passe pas grand chose ici, et c'est d'un ennuie terrible. Aussi, il faut peut-être l'excuser si sa journée ne remplit pas exactement les critères de son travail. Sa journée type est un peu triste, aussi essaie-t-elle de l'égayer à sa façon. Le matin, Stella arrive en retard au commissariat. De toute façon, personne ne l'y attend jamais, aussi elle prend son temps pour se lever, paraissant dans son grand lit. En fait, se rassure-t-elle, si un problème survient, elle n'est pas très loin : elle habite en effet juste au dessus des locaux. Elle prend donc son tardif petit déjeuner et prend ses fonctions de le courant de la matinée, au moins porte-t-elle son uniforme. Attendant la pause de midi, elle remplit quelques papiers qui se ressemble chaque jour de manière troublante. Elle déjeune ensuite dans son bureau, puis part faire une ronde en voiture. Dans une ville comme Bourg-le-Conte, ce n'est pas vraiment nécessaire, mais elle apprécie toujours la balade en solitaire, explorant la ville. Puis elle revient à son bureau, reçoit la même personne chaque jour pour qui elle ne peut rien faire et quitte les locaux pile à l'heure. Stella passa sa soirée seule, dîne seule et se promène seule dans la forêt, avant d'aller se coucher. La journée prochaine sera la même.

Les choses changent lorsqu'un groupe de personnes arrivent en ville. C'est qu'elle est vigilante, on ne voit pas souvent du monde dans le coin. Voir jamais. Et malgré son laxisme, elle est prête à faire son travail. Elle se rappelle qu'elle-même ne vient pas de la ville, est elle arrivée après ses études en France et a pris le poste vacant de la ville. Mais eux, d'où viennent-ils ? Que viennent-ils faire ici, et sont-ils un danger pour les habitants ?

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